Ce que tu écriras sera lu, je m'y engage :-)

Tout à faire d'accord c'est bien dommage.

Ouah!!!
Ya encore de la vie! Du Canada!!! Magnifique!
Merci Damdam pour ce petit coup de motivation!

Google +, c'est totalement useless. Pas la peine d'y laisser la main ; )

Le blog qui a 2L et 2T vous informehttp://2l2t.com : " It is intended to be viewed in a newsreader or syndicated to another site.Il était beau ce blog!http://feedproxy.google.com/~r/2L2T_viabloga/~3/9y4g0ZIppIQ/il-etait-beau-ce-blogdocmulderThu, 21 Jun 2012 07:13:37 PDThttp://2l2t.com/news/il-etait-beau-ce-blog"

 Et oui les réseaux sociaux c'est bien pour partager et liker des choses, mais pour écrire des articles de fond rien de mieux qu'un blog. Par contre l'excercice est plus contraignant. 

Il y a toujours du monde qui vient voir de temps en temps s'il y a des nouveautés.

Et même en 2021 !! Hehe

Il était beau ce blog… et les mariées le sont encore plus

Photos jaunies, souvenirs, émotion. Et puis il y a CES photos de mariage où la mariée porte une robe de mariée bohème qui fait pleurer tout le monde (même le DJ). Un blog peut redevenir beau, une mariée aussi. La preuve en 2026.

 

Retrouver un blog, c’est retrouver un fil… et l’envie de recommencer

Il était beau, ce blog. Et le redécouvrir aujourd’hui déclenche une sensation étrange, faite à la fois de nostalgie, d’affection et d’un sourire un peu surpris. On croyait avoir laissé cet espace derrière soi, et pourtant il suffit d’y revenir pour sentir que quelque chose bouge encore, discret, intact.

Relire ses propres mots, c’est comme suivre une longue ligne laissée au passé, un fil qui s’étire jusqu’à nous. Une dynamique qui rappelle ces silhouettes fluides que l’on retrouve dans des modèles aux formes allongées, comme un geste qui n’aurait jamais été interrompu.

En rouvrant le blog, surgissent aussi les moments plus simples, plus concrets : les essais, les brouillons, les petites maladresses charmantes, l’écriture un peu brute qui faisait son charme. Une authenticité qui évoque ces textures familières, proches de des pièces en denim solide. On retrouve toujours quelque chose de sincère dans ce que l’on a fait sans calcul.

Mais rebloguer, c’est aussi remettre de l’ordre : choisir un ton, une cadence, une mise en forme, redonner un cadre. Cette structuration rappelle les lignes nettes observées dans des modèles aux contours précis. Pour repartir, il faut tracer une direction.

Puis viennent les souvenirs qui vibrent encore : les commentaires, les petits échanges, les hésitations, les idées qui revenaient sous différentes formes. Ces oscillations, ces micro-variations du passé, font penser aux ondulations visibles dans des modèles aux plis délicats. Le blog vieillit, mais il respire encore : il suffit de l’écouter.

Il y a aussi cette clarté nouvelle : en revisitant l’espace, tout paraît plus simple, plus lisible, débarrassé de ce qui parasitait autrefois. Une sobriété rafraîchissante, semblable à celle des pièces que l’on découvre sur des créations lumineuses et épurées. Peut-être qu’avec moins d’attentes, l’envie revient plus naturellement.

Et puis, impossible de ne pas le reconnaître : il y a un certain éclat à retrouver un endroit que l’on croyait perdu. Un petit frisson, une envie timide mais brillante, pareille à la douceur discrète aperçue sur des pièces aux reflets soyeux. C’est ce petit éclat qui donne envie de recommencer.

On n’aime pas Facebook, Twitter ne convient pas, Google+ n’était pas encore apprivoisé… mais un blog, lui, laisse respirer. Il accueille le temps long, les hésitations, les retours inattendus. Alors pourquoi pas ? Pourquoi ne pas écrire encore quelques lignes ?

À bientôt, peut-être, pour ceux qui passent encore par là. Les lieux qu’on retrouve sont parfois ceux où l’on se sent le mieux.